UE PHOTOGRAPHIE 2020-2021

Travaux des étudiants de l’UE libre Culture « photographie » encadrée par Anne Immelé, photographe et docteur en Art.

Durant les deux semestres de l’UE  « photographie » les étudiant.e.s ont pris des photographies argentiques et numériques. Dans le contexte actuel, le point de départ du semestre était  « l’attraction » comme impulsion nécessaire à toute vie, comme désir de regarder et de découvrir. Les premières séances ont permis d’explorer des sites urbains mulhousiens. Du fait du confinement les sujets du cours se sont modifiés. La visio-conférence, l’isolement des étudiant.e.s dans leur lieux de vie, a ouvert les champs à des photos axées sur la mise en relation à travers une série de processus : Mise en abîme de l’acte photographique, masquer/dévoiler, créer des trajectoires pour relier géographiquement les lieux de vie des étudiant.e.s, dans une approche poétique et politique, créer des associations. L’observation, la relation à une temporalité ralentie, la concentration sur l’ici et maintenant ont été importantes lors de la réalisation des photos.

Les étudiants : Nour Alahmad, Ayoub Benmessâoud, Cloé Bitsch, Lisa-Marie Boltz, Morgane Bockert, Kassy Bossuroy, Pierre-Mickaël Carniel, Maya Chapuis, Wiktoria Ciszewska, Lisa Claudepierre, Martin Gaeng, Nofy Hartmann, Emma Landherr, Laurie Martin, Coline Meister, Perrine Mura, Emma Schmitt, Claire Springer, Sophie Vorady, Léa Zisette.

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PORTRAITS MASQUÉS

Série de portraits masqués réalisés au moyen de format argentique dans le hall de la Fonderie. 

CRÉATION DE DYPTIQUE

Le rapprochement des photographies est un jeu complexe, mettant en jeu des échos de formes et des correspondances plastiques. Les rapprochements d’images sont aussi création de sens par des actions de montage. Par binômes, les étudiant.e.s ont réalisé des dytiques lors de marches visant à les relier à partir de leur lieu de confinement.
Pour la série After Bernad Plossu, suite à la découverte des photos de Bernard Plossu, chaque étudiant.e.s a choisi une photo de lui pour réaliser une nouvelle image dont le statut était variable : remake, suite ou éclairage.

MISE EN ABÎME

Travail de prises de vue sur la mise en abîme de l’acte photographique avec des cadres dans le cadre, des jeux de lumières.

MARCHES URBAINES ET PÉRI-URBAINES

L’initiation à la photographie argentique et numérique a permis de prendre le temps d’observer le réel lors de parcours dans la ville et ses abords. Les photographies ont été réalisées dans des zones en transition autour de la Fonderie, du site de la SACM, en marchant le long du canal ou de la voix de chemin de fer, vers le quai des pêcheurs, ou vers les collines du Rebberg.